mardi 6 décembre 2016
Visions d'étudiants
Par Anne-Marie Gravel, publié dans le Progrès-Dimanche du 4 décembre 2016 avec les photos de Jeannot Lévesques.
jeudi 1 décembre 2016
mercredi 23 novembre 2016
Les États Transitoires
Les états transitoires : évènement des étudiants de la maîtrise en art de l’UQAC
du 30 novembre au 14 décembre 2016
Vernissage le mercredi 30 novembre 2016 dès 17h
La Galerie l’Œuvre de l’Autre de l’Université du Québec à Chicoutimi et les étudiants de première année à la maîtrise en art sont heureux de vous inviter à l’évènement artistique Les états transitoires.
Cette rencontre entre les étudiants et le public est devenue une tradition incontournable d’année en année. Cette fois-ci, les artistes exposent leurs projets de création autour du thème Les états transitoires.
En tout, seize créateurs de différentes disciplines telles que les arts visuels, le théâtre, le cinéma et la performance explorent de nouveaux champs et tentent d’amener leur pratique vers des horizons qui leur sont inconnus. Un défi à la fois affolant et stimulant, mais toujours enrichissant.
L’événement est ouvert à tous. Le vernissage aura lieu le mercredi 30 novembre 2016 dès 17h à la Galerie l’Œuvre de l’Autre, suivi des présentations théâtrales et cinématographiques à 17h30 au Petit Théâtre de l’UQAC.
Les étudiants sont sous la supervision de monsieur Marcel Marois, professeur ainsi que directeur de la Galerie l’Œuvre de l’Autre.
Les étudiants : Patrice Baillargeon, Tanguy Barretteau, Natalie Birecki, Thibaud Blain, IBelle, Jonathan Gagné, Izabelle Girard, Audrey Guimond, Alan Jama, Sylvie Lavoie, Karine Locatelli, Louis Moulin, Johanna Margot Sanchez, Joanie Simard, Frédéric L. Tremblay, Justine Valtie
du 30 novembre au 14 décembre 2016
Vernissage le mercredi 30 novembre 2016 dès 17h
La Galerie l’Œuvre de l’Autre de l’Université du Québec à Chicoutimi et les étudiants de première année à la maîtrise en art sont heureux de vous inviter à l’évènement artistique Les états transitoires.
Cette rencontre entre les étudiants et le public est devenue une tradition incontournable d’année en année. Cette fois-ci, les artistes exposent leurs projets de création autour du thème Les états transitoires.
En tout, seize créateurs de différentes disciplines telles que les arts visuels, le théâtre, le cinéma et la performance explorent de nouveaux champs et tentent d’amener leur pratique vers des horizons qui leur sont inconnus. Un défi à la fois affolant et stimulant, mais toujours enrichissant.
L’événement est ouvert à tous. Le vernissage aura lieu le mercredi 30 novembre 2016 dès 17h à la Galerie l’Œuvre de l’Autre, suivi des présentations théâtrales et cinématographiques à 17h30 au Petit Théâtre de l’UQAC.
Les étudiants sont sous la supervision de monsieur Marcel Marois, professeur ainsi que directeur de la Galerie l’Œuvre de l’Autre.
Les étudiants : Patrice Baillargeon, Tanguy Barretteau, Natalie Birecki, Thibaud Blain, IBelle, Jonathan Gagné, Izabelle Girard, Audrey Guimond, Alan Jama, Sylvie Lavoie, Karine Locatelli, Louis Moulin, Johanna Margot Sanchez, Joanie Simard, Frédéric L. Tremblay, Justine Valtie
lundi 21 novembre 2016
Deux univers
Paru ce matin, dans Le Quotiden, sous la plume de Anne-Marie Gravel accompagné par les photos de Jeannot Lévesques.
jeudi 20 octobre 2016
jeudi 13 octobre 2016
Record de Vincent Routhier
Vincent Routhier
Record
Du 19 octobre au 23 novembre 2016
vernissage le 19 octobre à 17h00
Record
Du 19 octobre au 23 novembre 2016
vernissage le 19 octobre à 17h00
RECORD est un projet artistique qui s’appuie sur les mathématiques
et le sport de haut niveau afin de proposer la réalisation du premier Record
mondial du plus grand nombre de duplications du carré (c√2) appliquées à une
feuille de papier. Sous la forme d’un workshop avec des étudiants de l’UQAC et
d’une exposition à La Galerie l’Œuvre de l’Autre, RECORD repousse encore plus loin les limites du dessin. Tant au
niveau de son approche conceptuelle que dans sa réalisation concrète RECORD, porte un regard analytique sur
différents aspects de la manifestation de la « volonté de puissance » * sur le
plan sociétal et individuel. En envisageant le dessin comme un outil de mesure,
ce projet constitue une étude méthodique et empirique qui questionne les enjeux
structurels de l’idée de quantité. RECORD
adopte la perspective de la persévérance et le dépassement afin de mieux comprendre
les notions d’infini, de fini de limite et de liberté. RECORD est un projet transdisciplinaire hors norme, qui propose de
remplacer l’œuvre d’art par l’exploit.
*(Wille zur Macht) Notion du philosophe allemand Friedrich
Nietzsche.
La technique de dessin :
Vincent Routhier a élaboré une
technique de pliage qui permet d’activer et de représenter des modèles de
duplication de figures élémentaires de la géométrie. C’est en pliant plusieurs dizaines de fois le
papier et en se servant d’une forme découpée à même la feuille comme d’un
pochoir que le dessin se construit. Pour chaque forme imprimée à la poudre de
graphite, il y a un pli. Le dessin est son propre outil et son propre plan. Le
modèle de duplication employé définit la composition et le nombre de formes imprimées
détermine la grandeur du dessin. Le visiteur se retrouve face à une œuvre autoréflexive.
Il peut retracer mentalement son processus de création visible à travers les traces
de pliage, les marques de manipulations laissées par la poudre de graphite et l’espace
vide qui a généré l’entièreté du dessin.
Vincent Routhier détient un BAC
peinture/dessin de la HEAD de Genève. Il vit et travaille à Montréal où il
vient de finir une maîtrise en Art Visuel Intermedia/Cyber Art à l’Université
Concordia. Son travail a été présenté dans différentes galeries et centres
d’art au Québec et en Amérique du Nord tel que le Hellen Day art Center (VT,
US), la Galerie Leonard et Bina Ellen (Montréal) et la Galerie Simon Blais
(Montréal). Il est Lauréat du Prix de la Fondation Sylvie et Simon Blais pour
la relève en arts visuels 2016. Cet artiste conceptuel dont la pratique
multidisciplinaire découle du discours philosophique et de l’approche
scientifique interroge la complémentarité possible entre l’art et la science.
En envisageant la traduction comme création pure, Il élabore des systèmes qui
se traduisent en de grands dessins géométriques, en formules mathématiques, et
en performances contextuelles.
Vincent Routhier : routhierv@gmail.com
jeudi 22 septembre 2016
Performance
Du 28 au 30 septembre 2016
Vernissage mercredi 28 sept. 16h45h.
Finissage vendredi 30 sept. 17hoo
Adventures
can be found anywhere, même dans la mélancolie
Avec
Marie-Claire Forté
Jacob Wren
Julie Bernier
Anick Martel
Étienne Provencher-Rousseau
Claudia Francello
Installés
autour d’une grande table, des performeurs se consacrent à un travail continu
de réécriture du Livre de l’intranquillité de Fernando Pessoa.
L’objectif est de produire une nouvelle version du livre à plusieurs mains, de
se l’approprier, de l’adapter à notre monde actuel, de se pencher sur la
profonde mélancolie de Pessoa et de la transformer en quelque chose
d’apparemment un peu plus heureux ou au moins de conférer au texte une certaine
intensité du temps présent. Fernando Pessoa a écrit en empruntant une série
d’hétéronymes, c’est-à-dire différentes identités, chacune bénéficiant d’une
histoire personnelle distincte et d’un style littéraire particulier. Il a
écrit en portugais, en anglais et, dans une moindre mesure, en français. Le
Livre de l’intranquillité est une publication posthume, constituée à
partir d’inédits que Pessoa a laissés derrière lui. Un débat incessant se
poursuit encore sur la manière d’organiser ce matériel et sur l’établissement
d’une éventuelle version finale du livre. Adventures can be found
anywhere, même dans la mélancolie est une façon de tirer de ce livre
hautement controversé un livre différent et d’observer jusqu’où cela ira. Il
s’agit d’une reconnaissance des possibilités créatrices de la lecture comme réécriture,
d’une mise en lumière du fait que nous avons notre propre version des livres
que nous lisons et que nous les entremêlons avec nos vies et le monde qui nous
entoure. En prenant cette analogie au pied de la lettre, en transformant par la
performance cette métaphore en représentation, nous espérons créer un espace
d’échanges constants entre coïncidence, intuition et nuance.
Crédits:
Cette
installation-performance a été créée originellement en 2014 par les
créateurs-performeurs Claudia Fancello, Marie Claire Forté, Nadège Grebmeier
Forget, Adam Kinner, Ashlea Watkin et Jacob Wren à la Galerie Leonard
& Bina Ellen de l'Université Concordia sur une invitation de Michèle
Thériault, en coproduction avec PME-ART, et présentée en association avec le Festival
Actoral (Marseille) et l'Usine C (Montréal) dans le cadre l'édition
montréalaise du Festival.
PME-ART remercie le CALQ et
le CAM de leur appui.
Cette activité s'inscrit dans le cadre du colloque
international Les pratiques
contemporaines de l'écriture textuelle pour la scène organisé par La
Chaire de recherche du Canada Dramaturgie sonore au théâtre.
mercredi 7 septembre 2016
Ouverture de la saison
Un Pari sur l’imaginaire: sélection 2016 L’exposition de la rentrée
Le vernissage : le mercredi 7 septembre à 17h
Du 7 au 21 septembre 2016
Le vernissage : le mercredi 7 septembre à 17h
Du 7 au 21 septembre 2016
L’exposition de la rentrée Un Pari sur l’imaginaire: sélection 2016
est composée d’un corpus d’œuvres qui représente l’esprit de recherche
en art actuel ainsi que les meilleures solutions trouvées par les jeunes
artistes aux problématiques proposées par leurs professeurs dans les
diverses disciplines enseignées au bac interdisciplinaire en art (BIA)
ainsi qu’au bac en enseignement des arts (BEA) de l’UQAC.
mercredi 27 avril 2016
mardi 26 avril 2016
Relecture/réinterprétation
La Galerie L’Œuvre de l’Autre, ainsi que les étudiants du programme en
arts de L’Université du Québec à Chicoutimi, vous convient à un événement d’exception.
Sous la supervision de M. Marcel Marois, professeur du module des arts et directeur
de La Galerie L’Œuvre de l’Autre, les étudiants présentent le résultat de leurs
recherches-créations autour du thème de Relecture et Réinterprétation ;
revisiter diverses sources et références du travail de création afin de mener à
terme une œuvre autonome.
L’exposition s’articule autour d’un ensemble de pratiques telles
que : la peinture, la sculpture, l’installation sonore et vidéo, la
performance, le cinéma et le théâtre. Cette manifestation artistique se veut
collective, par une approche en collaboration interdisciplinaire. La thématique
vient cerner la production issue de divers horizons dans une exposition qui
clôt la session.
Il sera possible de voir cet éphémère, mais significatif énoncé d’art
lors du vernissage le mercredi 27 Avril à 17h à La Galerie L’Œuvre de l’Autre,
au Petit Théâtre ainsi qu’à la boite noire.
Les étudiants :
Patrice Baillargeon Charlie
Lescault
Émilie Bouchard Madyson
Menier
Gabriel Brochu-Lecouffe Bastien Perron
Erika Dumas Gaëtan
Reine
Clara Girault
Justine Rousseau
Yan Guillemette Samantha
Rousseau Ouellet
Antonio Larios Bruno
Sylvain Truchon
lundi 18 avril 2016
Les travers de notre époque
Paru dans le Progrès-Dimanche du 18 avril sous la plume de Daniel Côté et les photos de Rocket Lavoie.
lundi 4 avril 2016
mercredi 30 mars 2016
Mathieu Cardin
La Galerie l’OEuvre de l’Autre reçoit
Mathieu Cardin
La précession de la substance
Du 30 mars au 20 avril 2016
Vernissage le mercredi 30 mars à 17h.
«La Précession de la substance est une proposition qui place en exergue le concept de la précession qui agit sur les images consommées en cadence. La précession est le nom donné à la fluctuation d’un axe de rotation d’un objet (astre) lorsqu’il y a un déséquilibre. C’est la précession d’un mouvement qui l’amène à changer de forme et d’angle sinon, il reste droit et identique sur toutes ses faces. La précession c’est le changement de la forme. Le retour d’un même objet sous un angle différent, avec une nouvelle forme et une autre façade. Dans La précession de la substance, j’applique le principe de précession à l’image et à l’objet de manière à créer un rythme et une répétition. Si on prend une toupie en exemple, la vitesse de rotation est si rapide que nous pouvons observer la précession et les motifs répétitifs que celle-ci engendre. Dans l’exposition, elle est représentée par le retour de la forme, une palette de couleur spécifique et l’accumulation de mises en abîme. J’ai associé des objets ordinaires et des petites interventions de manière à créer un rythme qui trouve sa profondeur dans les échos que je leur ai fait subir.
Dans La précession de la substance, la documentation de l’exposition est mise en scène et exposée en même temps que l’exposition, il en résulte une exposition dont le thème principal est sa propre représentation.
La précession de la substance est un espace narratif. Il est praticable et s’apparente en forme au commerce. L’exposition aurait dû s’appeler : Il n’en est rien. Ce rien est celui du vide et son retour. Celui qui fait gonfler le désir à travers la représentation en rebond de la réalité. Il n’en est rien est une exposition orange, verte et bleue avec beaucoup de blanc. La précession de la substance est le prolongement naturel de l’activité de production qui trouve un débouché dans une imagerie qui aspire à se recycler dans sa propre mythologie.»
Dans La précession de la substance, la documentation de l’exposition est mise en scène et exposée en même temps que l’exposition, il en résulte une exposition dont le thème principal est sa propre représentation.
La précession de la substance est un espace narratif. Il est praticable et s’apparente en forme au commerce. L’exposition aurait dû s’appeler : Il n’en est rien. Ce rien est celui du vide et son retour. Celui qui fait gonfler le désir à travers la représentation en rebond de la réalité. Il n’en est rien est une exposition orange, verte et bleue avec beaucoup de blanc. La précession de la substance est le prolongement naturel de l’activité de production qui trouve un débouché dans une imagerie qui aspire à se recycler dans sa propre mythologie.»
Les oeuvres de Mathieu Cardin ont été présentées dans des expositions individuelles à Montréal à la galerie B-312, au centre d’artistes Regart de Lévis, au Centre d’exposition L’Imagier et à AXENÉO7 en Outaouais, dans des expositions de groupes aux galeries Les Territoires et Parisian Laundry et dans le contexte des projets Homa et Art Souterrain à Montréal, au Symposium international d’art contemporain de Baie-Saint-Paul, ainsi qu’en France et au Mexique.
lundi 21 mars 2016
Publication de Marie-Michèle Bergeron
La Galerie L'Œuvre de L'Autre
annonce sa toute nouvelle publication:
Un autre Jour Marie-Michèle Bergeron
Texte de Mariane Tremblay
20 pages, photographie couleur, 20,5 X20,5 cm
reliure allemande
Dépôt légal
Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2015
Bibliothèque et
Archives Canada, 2015
ISBN: 978-2-923833-17-0
Prix 15$
Lancement le 30 mars, à 17h00, à
La Galerie lors du vernissage La
précession de la substance de Mathieu Cardin.
mercredi 16 mars 2016
lundi 29 février 2016
Julien Éclancher
Point d'écoute impossible
Commissaire
Jean-Paul Quéinnec
Du
9 au 23 mars 2016
Vernissage le mercredi 9 mars à 17h.
«Point d'Écoute Impossible,
est une installation qui s'attache à explorer la notion d'espace sonore. Elle
se propose de sillonner, sous l'inspiration de M. C. Escher, des espaces
sonores et d'ainsi construire une géographie particulière. D'un tableau à
l'autre, les sons évoquent des lieux que l'espace de l'œuvre transforme, modèle
et sculpte en micro-récits. Les promeneurs-auditeurs sont amenés à suivre les
anamorphoses sonores qui tracent un paysage audible, morcelé et animé, inspiré
de l'univers visuel d'Escher.
Cette
œuvre a été l'occasion de proposer une première taxinomie des espaces sonores
et des rapports qu'ils entretiennent les uns avec les autres, ainsi que
d'ouvrir sur la notion de narrativité floue. Elle est aussi le point départ
d'une réflexion plus vaste sur la place du concept d'espace sonore au sein
d'une épistémologie de la création qui prenne en compte la nature complexe du
son. Les conclusions tirées sur la capacité d'un espace sonore à créer de la
tension narrative alimentent aujourd'hui mon approche de la création au
théâtre et orientent grandement les
projets à venir Écrire de l'espace avec du son pour révéler son potentiel
dramatique et narratif, voilà, d'une façon brève, ce qui anime cette
installation ainsi qu'une grande partie de mes préoccupations sonores.»
-Julien
Éclancher
Julien Éclancher est diplômé
d’un BTS en audiovisuel spécialisé en son (LISA, Angoulême), d’une licence en
Cinéma et Arts du Spectacle (Bordeaux III) et d’une maîtrise Recherche-Création
en média expérimental (UQÀM) dans laquelle il a développé une approche
particulière du concept d’espace sonore et de narrativité audio. Spécialisé dans les
problématiques liées à la narrativité sonore, à l’espace et au traitement de la
voix amplifiée, il travaille au théâtre avec Denis Marleau et Stéphanie Jasmin
(LUMIÈRES, LUMIÈRES, LUMIÈRES d’Evelyne de la Chenelière à ESPACE GO en
2014 et L’HISTOIRE DU ROI LEAR d’après Shakespeare au TNM en 2012), Florent
Siaud (ILLUSIONS d’Ivan Viripaev au Théâtre Prospero en 2015 et 4 :48
Psychose de Sarah Kane au Théâtre La Chapelle en 2016) et, au cinéma avec
Philippe Grégoire (Aquarium,
2011; Un seul homme,
2014).
mercredi 17 février 2016
L'Esprit du temps
DU
17 au 25 FÉVRIER 2015
Vernissage le mercredi 17 février à 17h.
La Galerie
l'Œuvre de l'Autre, le centre d’exposition de l’UQAC présente, dans le cadre de
l'événement Zeitgeist l’esprit du temps, le 14 ième festival des finissants en
art, le travail de Julie Bellavance, Fanny Lessard et Olivier Carbonneau.
Simultanément
au vernissage, les projections des films d’Alexa Tremblay-Francoeur, François Desbiens,
Frédéric Desbiens et Frédéric L. Tremblay seront diffusées au Petit Théâtre.
Venez
rencontrer les nouveaux bacheliers en art ainsi que du porte – parole du
festival, l’artiste et communicateur, Daniel Jean.
Pour
connaître la programmation complète, consultez le https://festivaldesfinissants2016.wordpress.com/zeitgeist/
lundi 8 février 2016
Vie, mort et transformation
Article paru dans le Quotidien édition du lundi 8 février 2016, texte de Daniel Côté, photo de Mariane St-Gelais.
jeudi 21 janvier 2016
jeudi 7 janvier 2016
Natures mortes et autres manifestations de la vie et de l’artifice
Résidence : du 13 au 27
janvier
Vernissage : 27 janvier 2016
à 17h00
Exposition du 27 janvier au 10
février
Du 13 janvier au 10 février 2016, Sara Létourneau et Magali
Baribeau-Marchand réaliseront une résidence de création au sein de la Galerie
L'Œuvre de l'Autre de l'UQAC. Suite à un important processus de collecte
d’objets délaissés, précieux, obsolètes ou résiduels, elles présentent des natures mortes; jardins latents où se
côtoient le naturel et l'artificiel, et où la rencontre du minutieux et du brut
provoque de surprenantes ramifications de sens.
Elles ont notamment parcouru les cimetières de la région afin d’amasser des
fleurs de tissus ayant achevé leur vie utile et dont le vent, la pluie, le
soleil et les tondeuses ont presque eu raison. Cueillis dans les forêts
adjacentes aux lieux de culte, ces vestiges commémoratifs, envolés ou jetés, seront
transformés en une courtepointe, dernier hommage à ces offrandes fanées et à la
trace d’un passage.
Les artistes mettront en espace des jeux de sens et cultiveront la
surprise chez le regardeur qui pourra d'ailleurs collaborer à certaines pièces.
Abordés par accumulation, poésie, détournement et étalage, le cycle, le vestige,
la relique, la perte et le savoir-faire artisanal sont autant de motifs qui
guideront leurs actions autour de la nature et de la mort.
Létourneau et Baribeau-Marchand vous lancent une invitation ludique et
grave à venir les visiter durant leur résidence afin de suivre l’évolution des
dispositifs mis en espace à La Galerie l’Œuvre de l’Autre.
Détentrice d’un baccalauréat en arts visuels de l’Université du Québec à
Chicoutimi, Magali Baribeau-Marchand
pratique le dessin, la sculpture et l’installation. Son travail, qui a été
diffusé dans plusieurs centres d’artistes du Québec, l’emmène à
révéler et à mettre en espace des ensembles de signes qui nous parlent des
réminiscences de la mémoire, de précarité et de désuétude. En plus de
s’impliquer dans divers organismes culturels de sa région, elle agit en tant
qu’éditrice de l’opuscule de dessin Lapin Lièvre. Originaire d’Alma au Lac Saint-Jean, elle vit et
travaille à Chicoutimi.
Sara Létourneau est une artiste
multidisciplinaire de Chicoutimi. Elle s'expose et se livre en art performance,
au théâtre, dans son travail pictural et en musique en tant
qu'auteure-compositrice-interprète. Toujours de manière poétique, en jonglant
avec les symboles, mais avec une grande simplicité, elle déploie le féminin
dans toute sa complexité, sa force et sa fragilité pour en faire ressortir une
certaine étrangeté. Elle a participé à plusieurs projets théâtraux, notamment
pour le théâtre La Rubrique et pour la Chaire de recherche du Canada en
dramaturgie sonore. Elle interprète régulièrement ses chansons dans les salles
du Québec accompagnée de sa guitare ou de dispositifs numériques et elle a
présenté ses actions en art performance dans plus d'une quarantaine
d’évènements au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Asie.
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